Slitterhead is a game I want to like more than I do. Pour chaque concept intrigant que le jeu propose des joueurs, il l'enrasse avec des mécanismes de gameplay mal exécutés ou une présentation confuse.
When Slitterhead was first announced, I was excited, if only because of Keiichiro Toyama's involvement. The man has created some truly excellent games, like the original Silent Hill, the Siren series, and the excellent Gravity Rush duology. Most of those games are all-time classics in my eyes, so of course I was excited for Slitterhead. I knew the game wouldn't be as grand as other major video game releases, mostly due to its modest budget, but I still had hope for the best. And in those first few hours, it met my expectations.
The game has the player assume the role of a spirit known as a Hyoki. You don't have a name or your memories, but you know one thing – you want to exterminate creatures known as Slitterheads. Think of them like the creatures from The Thing. Ils dévorent le cerveau d'une personne puis les remplacent, conservant leurs souvenirs et ses personnalités, mais ils envahissent lentement les rues d'inspiration à Hong Kong de Kowlong et c'est à vous de les arrêter. Given that you're a ball of light, your options of fighting back are limited, but you do have one unique advantage. The Hyoki can hijack a person's body and use them to navigate the world and fight Slitterheads.
It's this concept that had me immediately interested in Slitterhead. Swapping between bodies is fun both in and out of combat. Chasser les têtes de slitter en sautant à travers les corps est excitant et abandonner un cadavre presque mort pour prendre le contrôle d'un corps en pleine santé rend le combat rapide et frénétique. Le tutoriel montre même les composants de plate-forme de celui-ci, le Hyoki sautant d'un bâtiment pour atteindre le niveau du sol, seulement pour échanger sur un corps sur le sol afin de ne pas subir de dégâts d'automne. Une fois l'échange terminé, vous regardez ensuite le corps que vous avez utilisé pour habiter tomber au sol alors que les civils réagissent en terreur à ce qu'ils perçoivent comme un suicide.
The horror is subtle in the game, but it's mostly left to the player to think about. The game never dwells on any of these aspects and instead simply presents the Hyoki versus Slitterhead concept as is. It's fine enough but lacks any depth. L'histoire va de point à point et compte tenu de la structure narrative lâche où vous jouez des événements en panne, il est plus difficile de s'engager avec l'histoire du jeu. Même alors, la présentation de l'histoire est assez terne, avec des cinématiques composées principalement de modèles de personnages encore tournés dans un environnement tandis que quelques lignes vocales recyclées et grognements jouent dessus.
And look, I don't have issues with budget games, but at points, Slitterhead just feels cheap. Characters models look ugly and barely emote, looking almost like a PS3 game. The limited presentation of the cutscenes makes it hard to follow what's even happening in the story. Enemy types are recycled and you'll be fighting them ad nauseum from the beginning of the game right up until the end. It's not that Slitterhead needed more time in the oven, but it needed way more resources to vary things up.
While the presentation leaves a lot to be desired, as a game, Slitterhead does have its moments. Taking control of random bodies is still fun and eventually you'll come across powerful humans called Rarities. Rarities have more health and unique abilities, allowing for more interesting combat opportunities. Mes raretés préférées étaient Julee, qui a des griffes et peut se guérir elle-même et les gens qui l'entourent, et Alex, qui a un fusil de chasse puissant et une capacité de gravité qui force les ennemis ensemble. Le problème est que ce sont les premières rarirités que vous obtiendrez et que les raretés futures ont plus de capacités de situation ou sont si faibles que pour les rendre bonnes, vous devrez affluer de précieux points de compétence qui ne peuvent pas être réalisés une fois utilisés.
Combat has the potential to be fun though, especially if you're swapping between the two Rarities you're allowed to take into missions. Avoir un dessiner Aggro et limiter les dégâts pendant que vous échangez à un plus loin pour guérir et Buff est une stratégie solide, tout comme le contrôle des civils sans nom pour éclater quelques coups sur les ennemis, puis échanger sur un nouveau corps avant d'être tué. It's never hard except when Slitterhead forces you to play as a character that you haven't been leveling up.
When you aren't fighting, you'll navigate a few small open-world areas to progress the story. Parfois, ceux-ci prennent la forme de séquences furtives linéaires, qui sont un frein, mais d'autres fois, ce sont des segments mystères où vous devez retrouver les têtes de slitter déguisées. Le jeu vous guidera dans la bonne direction, mais cela implique généralement de parler aux habitants ou de suivre leur position en observant ce qu'ils voient, un peu comme la façon dont le viseur a fonctionné dans la sirène.
I loved these investigative elements, but they're not fully realized. Bien que le suivi d'un slitterhead devrait être comme un jeu de chat et de souris, le jeu attirera une énorme attention sur qui est le slitterhead, que ce soit pour leur coller la caméra ou si une option apparaît au-dessus de leur tête pour révéler leur identité, quelque chose qui n'apparaît que pour les slitterheads. De plus, étant donné les environnements relativement peu disponibles et le nombre de fois que vous jouerai, ces segments perdent leur charme très rapidement.
The biggest problem that Slitterhead has is once you've played the game for four hours, you've seen everything it has to offer. Combat doesn't get more complex and the mystery segments don't become more interesting. All you're left with is repetitive combat and a story that you'll quickly lose interest in because of how poorly presented it is. Encore une fois, ces quatre premières heures sont amusantes en raison de la façon dont les concepts sont frais et excitants que Slitterhead veut expérimenter, mais il ne sait tout simplement pas quoi faire d'autre avec eux.
After I finished the game after 12 hours, I couldn't help but think that I deluded myself into thinking that Slitterhead was better than it was. I wanted to like it, I honestly did, but after a certain point, goodwill can only take you so far. Eventually, you just have to accept a game you were looking forward to is actually bad.
